[SIM-Ségur] Saint Eloy les Tuileries

Héraldisme
Fief seigneurial {issu de mérite}
Description du Blason :tiercées en pairle, au premier de sable au soleil d'or, au second aussi de sable au renard passant et regardant d'or, au troisième de gueules à la tour d'argent fenestrée du même et crénelée de trois pièces, maçonnée de sable, au canton de Ségur, et à l'écusson sur-le-tout de Plantagenêt, brisé d'un lambel d'or à trois pendants
Ancien nom :
Devise :
Actuel Seigneur : Messire Guilhem de Plantagenêt
Ancien Seigneur :
Nom des habitants :

Généralités historiques

• Site préhistorique, occupé par une importante "villa urbana" à l'époque romaine.
  
• Paroisse citée au 12ème, appartint à la vicomté de Limoges, dépendant de la châtellenie de Saint-Yrieix, puis de celle de Ségur.

Vestiges préhistoriques et antiques

• Site préhistorique de la Ribière.
  
• Villa* gallo-romaine du Boin (MH) : rotonde 2ème, 9 salles avec foyers monumentaux 4ème.

Architecture civile

• Grange ovale de La Ribière, logis, porcherie (MH).
  
• Ruines du château du Mas 15ème.
  

Architecture sacrée

• Eglise 12ème.

Ressources et productions

• Vergers.
  
• Bovins, ovins, porcins.

Nota Bene : * : Notoire - ** : Exceptionnel - IMH : Inscrit Monument Historique - MH : Monument Historique - SI : Site Inscrit - SC : Site Classé

Citation :

Nous, Stannis, Baron de Chauvigny, en nostre qualité de hérault de la marche du Poitou, et après consultations des édits héraldiques, validons et contresignons l’anoblissement du sieur Guilhem de Plantagenêt au rang de Seigneur de Saint Eloy les Tuileries, fief du Comté de Ségur dont les armes sont tiercées en pairle, au premier de sable au soleil d'or, au second aussi de sable au renard passant et regardant d'or, au troisième de gueules à la tour d'argent fenestrée du même et crénelée de trois pièces, maçonnée de sable, au canton de Ségur, et à l'écusson sur-le-tout de Plantagenêt, brisé d'un lambel d'or à trois pendants, vassal du Limousin et de la Marche, proposé par la Comtesse Nébisa de Malemort.

Faict à Bellac, le dix-septième jour d’août mil quatre cent cinquante cinq