Participation aux cours, infractions

Bonjour,

J'ai l'impression qu'il y a rarement des cours remplis (en particulier en voie de l'armée ou de l'église, si j'ai bien compris). Je ne suis pas un spécialiste des universités, donc je ne saurais trop dire à quoi cela est dû (hormis l'habituel laïus sur la dépopulation, qui n'est sans doute pas faux).

Ne pourrait-on pas penser à quelques mesures pour y remédier ?

Par exemple, supprimer les restrictions et ouvrir les cours à tous (je croyais que c'était le cas avec le nouveau réglement, mais j'ai l'impression qu'il y a toujours des infractions), les ouvrir "dès que possible" (plutôt que d'attendre 13h ou 19h). Personnellement, je rigole un peu quand on me parle d'infraction dans un cour qui aurait été vide ou auquel n'auraient assisté qu'une ou deux personnes autrement.

En allant plus loin, faire un peu de pub chez nos voisins (le BA ?) comme quoi on a des places libres, voire organiser des sessions "apprentissage rapide" dans une voie, pendant 15, 20 jours (coïnciderait avec la prise de noblesse), durant lesquelles on aurait quotidiennement un cours dans une voie donnée, permettant de progresser particulièrement rapidement. J'imagine qu'un tel système pourrait intéresser de jeunes érudits à un ou deux jours de marche du Limousin.

Et si ce n'est pas clair pour tout le monde, rappeler que prendre des cours revient moins cher et va plus vite qu'étudier seul

Justes quelques idées, toutes ne sont pas forcément de moi.

Je vais vous répondre point par point:

Citation :

supprimer les restrictions et ouvrir les cours à tous (je croyais que c'était le cas avec le nouveau réglement, mais j'ai l'impression qu'il y a toujours des infractions)

C'est le cas depuis cet été, sinon vous auriez déjà eu à juger de ces affaires. Les cours sont en libre accès aux érudits, pas aux artisans mais ça ne leur sert pas à grand chose.

Citation :

les ouvrir "dès que possible" (plutôt que d'attendre 13h ou 19h)

Personnellement, je suis contre, ce serait la foire. Certains cours ne se remplissent pas, certes, mais certains se remplissent très vite comme les langues et guetter toute la journée leur ouverture pour ne pas la rater est juste casse-pied. Je le sais pour l'avoir tester à l'étranger, j'ai finalement abandonné l'idée d'étudier avec des professeurs durant mes séjours dans les universités pratiquant cette méthode, donc loin de moi l'idée de vouloir l'instaurer en Limousin.

Citation :

En allant plus loin, faire un peu de pub chez nos voisins (le BA ?) comme quoi on a des places libres

Mouai pas convaincue. Dans certaines voies, la navigation notamment, les besoins du BA sont totalement différents des notres, plus avancés. Et nous avons eu l'expérience avec un polignacois venant suivre des cours icelieu et vendant ses PE au détriment des limousins pour au final partir en crachant dans la soupe dès qu'il est devenu nanti. Cela refroidit un peu. Après pourquoi pas, organiser une sorte d'association sur certaines matières, faut voir. Je crois que le PA est moins avancé que nous en navigation par exemple, il faudrait que je contacte leur recteur.

Citation :

voire organiser des sessions "apprentissage rapide" dans une voie, pendant 15, 20 jours (coïnciderait avec la prise de noblesse), durant lesquelles on aurait quotidiennement un cours dans une voie donnée, permettant de progresser particulièrement rapidement. J'imagine qu'un tel système pourrait intéresser de jeunes érudits à un ou deux jours de marche du Limousin.

Vous parlez de semaine thématique, c'est ça? C'est une chose qui a été essayée plusieurs fois en Limousin et qui n'a jamais fait recette, nous avons fini par abandonner l'idée puisque ça ne marche pas.

Et moi j'ai une suggestion, ne pas mettre 13 écus pour un cours de base dans une voie peu suivie pour attirer plus le chaland, non?

En ce qui concerne les infractions, au temps pour moi. Je n'avais pas fait attention au fait qu'il s'agissait de N2 qui étaient marqués comme tels.

Les langues ne sont pas une matière que je pratique, mais effectivement, avec les sciences et techniques, ce sont des cours qui sont toujours plein après 2 ou 3 heures en moyenne. Cela dit, pourquoi ne pas envisage un système mixte avec deux régimes différents selon que le cours fait partie d'une voie très recherchée ou pas. Si la demande est supérieure à l'offre, on fixe l'heure du cours selon les pratiques usuelles (je ne sais pas trop comment ça marche, mais j'imagine qu'on met un cours en particulier de temps en temps à 19h, d'autres fois à 13h), si non, on ouvre "quand on peut".

Sur les PE, je ne serais pas aussi catégorique. Si j'ai bien compris, on peine à trouver la dose quotidienne en PE institutions pour le comté.

Après, ma proposition va plus loin que juste faire de la pub ou organiser des semaines thématiques. Une semaine, c'est pas suffisant pour attirer quelqu'un qui doit se déplacer, à mon avis (perso, je n'irais pas étudier en BA juste pour une semaine, par exemple). 15 ou 20 jours, par contre, ça me paraît plus viable. L'idée, c'est vraiment de pouvoir dire : «maintenant, on a deux semaines avec un cours voie X tous les jours, ouvert à tous». Personnellement, si le BA ou le PA organise 20 jours de cours en voie de l'armée, je ne réfléchis pas deux secondes avant de m'y pointer.

Sur le prix des cours, ça m'étonnerait. Même un cours à 20 + 10 écus est toujours plus avantageux que d'étudier seul. Je vois mal des étudiants se dire «non» pour 1 ou 2 écus. Et si c'est le cas, je ne peux pas dire grand chose d'autre que : tant pis pour eux. Attirer le chaland, je le fais bien lorsqu'il s'agit de vendre de la camelote. Moins lorsqu'il s'agit de transmettre mon savoir, peut-être.

Citation :

Sur les PE, je ne serais pas aussi catégorique. Si j'ai bien compris, on peine à trouver la dose quotidienne en PE institutions pour le comté.

Je pense plutôt qu'il s'agit d'un manque d'investissement des HF conjugué au bug de non codage des PE dispo dans les autres voies.

Après pour le reste, cela revient à supprimer la diversité de l'offre, à vrai dire on s'en tape le coquillard que les cours soient pas pleins. Qui se plaint ? Fin je vois pas ce que cela apporte d'avoir tous les cours de remplis en délaissant complètement les autres ..

Si je puis me permettre, je trouve que ça pourrait être une bonne idée de ne pas valider à 19h des cours qui ne se remplissent pas.
Attention, je ne prétend pas que c'est le cas, si la distinction entre les cours pleins et les autres est déjà faite, pas de soucis.
Sur les cours de langue, et les quelques rares cours qui ont du succès, pas de soucis avec une validation à heure fixe.
Pour les autres, une validation "dès que possible", augmenterait les chances d'avoir plus d'élèves.

Pour les périodes thématiques, effectivement lorsque ça a été tenté, je n'ai pas souvenir d'une grande réussite.
Et proposer une période plus longue, comme par exemple 20 jours, devrait attirer que quelques rares personnes qui sont prêtes à partir en déplacement aussi longtemps pour ne faire qu'étudier. Trop marginal pour être intéressant.

Pour le prix des cours, je n'ai jamais compris pourquoi il était aussi mal vu de dispenser des cours à un prix autre que le minimum prévu. Vous vous rendez compte que l'on peut fixer un prix entre 10 et 29 écus? Et qu'à 12 écus, le professeur est vu comme un voleur?

Enfin, pour le manque d'investissement des hauts fonctionnaires, ça reste un mystère (comme le manque d'étudiant dans notre université alors que dans beaucoup de comté c'est très dur d'avoir une place dans un cours), mais peut-être que le faible salaire proposé n'y est pas pour rien... A titre personnel, je ne propose plus mes services pour 10 points.

Selon moi, même si ça n'attire que quelques personnes, ça peut permettre d'augmenter la fréquentation dans des cursus normalement peu fréquenté. Un cours, c'est 5 places ; deux, voire une personne de plus, ça représente beaucoup. Après, c'est clair, c'est pas dit que ça marche, et ça poserait un problème d'équité sur le court terme les érudits d'une voie avantagés en termes de cours à donner.

Pour la validation des cours, j'ai l'impression que ceux qui sont peu remplis sont systématiquement à 13h. C'est pas plus mal, en effet.

Sinon, ravi de voir que quelqu'un partage mon opinion sur le coût du savoir...

Personnellement, lorsque je donne des cours voie de l'armée, mes cours sont à 10 écus car je sais que ça n'intéresse pas grand monde et que je préfère avoir 3 ou 4 étudiants à 10 écus plutôt qu'un seul à 15 écus.