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 [Comté] Comborn

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LLyr di Maggio
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LLyr di Maggio


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MessageSujet: [Comté] Comborn   [Comté] Comborn EmptyMar 5 Juin - 13:58

Citation :
Comborn

[Comté] Comborn _99 ~~~~ [Comté] Comborn _104 ~~~~ [Comté] Comborn _105

Héraldisme
Fief Comtal
Description du Blason : d'or à deux lions léopardés de gueules.
Étymologie : combor qui signifie « barrage »
Ancien nom :
Devise :
Actuel Seigneur :
Ancien Seigneur :
Nom des habitants :

Seigneuries historiques :
Seigneuries RR octroyées :


Généralités historiques

La famille des Comborn, dont on retrouve trace dés le X° siècle, possédait en effet une forteresse publique. Le nom d’Archambaud est porté jusqu’au XIV° siècle par le chef du lignage qui transmet, d’une génération à l’autre, le titre de vicomte et par là-même le château qui constitue le siège de la vicomté. Plusieurs grandes familles féodales en sont issues: les Comborn, la 2° dynastie des Turenne, les Ventadour. Dans le premier tiers du Xe siècle, les comtes de Poitou, afin de mieux administrer leur domaine limousin, nomment un grand nombre de vicomtes. Ainsi apparaît en 984 la vicomté de Turenne avec à sa tête Ebles le vieux, vicomte de Comborn et de Turenne. Les Comborn, participant activement aux croisades et aux premières guerres franco-anglaises, obtiennent des rois de France d’immenses privilèges qui vont permettre à la vicomté de devenir un véritable « Etat dans l’Etat ». Bien que sous suzeraineté anglaise, (le château a été remis au roi d’Angleterre en 1263) le vicomte Raimon VI obtient du roi de France Philippe IV le Bel, en 1288, la validation de ses libertés et privilèges (renouvelée par Philippe de Valois en 1332 et Jean II en 1350).

Un oppidum gaulois aurait existé sur le site et l'étymologie de ce lieu renvoie au substantif combor qui signifie « barrage ». L'emplacement que choisirent les bâtisseurs de la forteresse médiévale de Comborn était particulièrement remarquable. Le château fut établi à un méandre dominant la Vézère et présentait donc naturellement un caractère défensif, se dressant sur un site entouré de trois côtés par la rivière! La forteresse était défendue par une double enceinte alors que le seul accès (côté terre) était gardé par deux tours. Le manoir, le donjon et la chapelle occupaient le promontoire. Les ruines subsistent à proximité de bâtiments qui sont très postérieurs au premier château. Ces premiers murs en pierre auraient été bâtis au début du XI° siècle. Des fouilles récentes ont permis d'en savoir plus sur cette forteresse primitive. La tour maîtresse comptait quatre niveaux communiquant entre eux par des échelles. Plusieurs salles souterraines ont été retrouvées. L'une d'elle serait la crypte de l'ancienne chapelle. Le château était à l'abandon au XV° siècle. Il fut vendu en 1558 aux Pompadour mais un incendie finit par le détruire entièrement. Les Lasteyrie le rachetèrent en 1649. Un « castel » fut reconstruit 1735, à l'emplacement d'une partie du château primitif et constitue aujourd'hui la « porte d'entrée » du site de Comborn.

Le premier vicomte de Comborn connu dans l'histoire portait le nom d' Archambaud. Il fut en même temps vicomte de Turenne vers 980. Il avait reçu le surnom de Jambe pourrie, à cause d'une blessure, qui ne se ferma jamais. Il avait été touché en assiégeant le château de Turenne, selon les chroniques de l'époque. Archambaud était appelé aussi le Boucher, à cause de sa force athlétique et de sa cruauté. Après lui, ses vastes domaines se divisèrent en trois vicomtés: Comborn, Ventadour et Turenne. Plus tard, les fiefs de Treignac, de Donzenac, de Beaumont et de Malemort se démembrèrent des vicomtés primitives. Les seigneurs de Treignac, furent presque tous cruels et ambitieux. Archambaud II, jaloux de son frère, l'assassina en 1033. Archambaud III, en expiation de ses attaques contre l'abbaye de Vigeois, fonda celle de Meymac en 1085. Èbles II, privé de son héritage, se vengea en déshonorant publiquement la femme de son oncle Bernard. Celui-ci le poursuivit et le tua dans une embuscade près de l'église d'Estivaux. Archambaud IV fit crever les yeux aux barons de Malemort, ses ennemis.

La Vicomté de Comborn comprend la région de Vigeois et la région de la Vézère et de la Corrèze au sud des Monédières. Son premier titulaire, à la fin du 9e siècle, est Archambaud le Boucher (ou “Jambe pourrie”). Les Comborn, qui sont une des grandes dynasties féodales du bas Limousin, possédèrent à différentes époques les vicomtés de Limoges et de Turenne.

Ces ruines sont tout ce qui reste de la demeure des Comborn, la plus ancienne, et puissante famille du Bas-Limousin, remontant au Xème siècle; Hugues le premier indiqué, mais certainement pas le premier eut comme successeur Archambaud 1er ; dès lors se sont d’illustres mariages qui marquent la montée en puissance des Comborn, d’abord le mariage d’Archambaud II avec Sulpicie de Turenne, héritière du fief de TURENNE (ce fut en disputant les droits de sa femme, qu’Archambaud, surnommé le boucher en fonction de son acharnement au combat, eut la jambe écrasée par une porte du château de TURENNE d’où son surnom de Archambaud à la jambe pourrie, il réussit néanmoins à faire valoir les droits de sa femme et la Vicomté de TURENNE fut absorbée par celle de Comborn). Son fils Ebles 1er épousa Béatrice soeur de Richard II Duc de Normandie. Les alliances matrimoniales sont de plus en plus illustres, ROCHECHOUART, LASTOURS, AUVERGNE, LIMOGES etc… C’est par le mariage d’Archambaud V avec Brunissende, fille du Vicomte Ademar ID de LIMOGES que les Comborn entrent la tête haute dans l’histoire de FRANCE. Les enfants mâles d’Ademar III étant décédés avant lui, leur père fit un testament en faveur des fils aînés d’Archambaud V et de Brunissende, ce testament. contesté par certains fut confirmé par le roi de FRANCE Louis VI, ce dernier ne se doutait pas qu’un de ses lointains successeurs Henri IV serait aussi le descendant des jeunes de Comborn, Vicomtes de LIMOGES suivant l’arbre généalogique ci-joint.

Pendant que les deux fils d’Archambaud V devenaient Vicomtes de LIMOGES, la Vicomté de Comborn continuait à prospérer, tout en se divisant en de nombreuses branches. Ebles fils d’Archambaud IV fonde la vicomté de ventadour, Boson fils d’un autre garçon d’Archambaud IV hérite de la Vicomté de Turenne. Pour continuer la politique d’Ebles 1er qui désirait mettre en place des cadets de la famille de Comborn sur les principaux points de la vicomté de LIMOGES, une quinzaine de familles chevaleresques issues de la maison de Comborn essaimèrent pour fonder de nouveaux établissements dont TREIGNAC et BLANCHEFORT. Mais rapidement ce morcellement entraîna la perte d’influence de la maison de Comborn et faute d’héritier mâle le dernier seigneur laissa la vicomté à la branche cadette de TREIGNAC à la fin du XIVème siècle.

Sur le plan religieux le rayonnement des Comborn est très important, tant sur le plan national que sur le plan régional. Sur le plan national, en 1005 un Comborn décède évêque de CAHORS, par la suite Guy de Comborn- Treignac fut évêque de LIMOGES puis de NOYON, Jacques de Comborn évêque de CLERMONT, où l’on voit ses armes sur plusieurs travaux, Pierre de Comborn évêque d’EVREUX puis de SAINT -PONS, Antoine ou Etienne de Comborn évêque d’ALET. Le nom d’Ebles de Comborn fils d’Archambaud II jambe pourrie est associé aux miracles de Sainte-Foi de Conques, de l’écolâtre d’ANGERS. Bernard fils d’Ebles 1er fit le voyage de Jérusalem avant les croisades et le moine Admar lui décerne l’épithète de « Valdé ecclesisticus ».

Sur le plan régional, d’après le Chanoine Poulbrière, on ne compte pas le nombre de fondations qu’ils ont créées ou soutenues; les plus importantes sont l’abbaye de MEYMAC fondée par Archambaud IV et celle du Glandier fruit d’un voeu d’Archambaud VII en réparation d’un meurtre; ils contribuèrent aussi par leurs dons aux fondations du Coyroux et d’Obazine avec droit de sépulture en plein chapitre du second au côté de Saint-Etienne ; Saint-Etienne est du reste le second patron de la paroisse d’ORGNAC. Dans le dictionnaire des paroisses du Chanoine POULBRIERE on trouve aussi de nombreux prieurés fondés par les Comborn ou leur ramifications, TURENNE, VENTADOUR, TREIGNAC, CHAMBERET, BLANCHEFORT etc.

Vestiges préhistoriques et antiques
  • A l'origine, Comborn se situe sur un oppidum gaulois. La présence gallo-romaine est attestée, des fouilles ayant permis, aux environs de 2002, de retrouver des tuiles romaines. On a la certitude d'une présence à la fin du 8ème siècle puisque, lors des fouilles, un silo à grains contenant des graines de céréales fut mis à jour ; ces graines ont fait l'objet d'une datation au carbone 14 que l'on a située aux alentours des années 780.


Architecture civile
  • Le château forteresse de Comborn : Forteresse construite au 11e et 13e siècle sur un éperon de méandre de la Vézère, rive droite de la rivière. L'une des plus anciennes et puissantes Vicomté du Limousin, célèbre par la lignée des Archambaud, dont Archambaud 1er surnommé "jambe pourrie" s'illustra par sa violence et ses conquêtes territoriales. Sur le territoire de la commune d’Orgnac-sur-Vézère, se trouve les ruines du château de Comborn sur un mamelon qu’enlacent de trois côtés les eaux de la Vézère, ce qui le rendait imprenable.

    Le site va subir énormément de modifications en 1.000 ans. A l'origine, jusqu'à l'an 1.000, ce sont des constructions en bois dont il ne reste rien sauf la trace d'un trou de poteau à côté du silo à grains qui prouve qu'il y avait un bâtiment au-dessus du silo à grains, vers la fin du 8ème siècle.

    Les premières constructions en pierres encore visibles datent sans doute du début du 11ème siècle : c'est la base de la tour maîtresse, composée à l'époque de 4 niveaux (on la retrouve sur un dessin de cadastre du début du 19ème siècle encore couverte) qui montrait par son importance la puissance du seigneur qui habitait là et surtout, elle assurait un abri en cas d'attaque car la manière d'accéder aux différents niveaux se faisait par un système d'échelles ; ce sont trois salles souterraines qui l'entourent pratiquement et, au fond de l'esplanade, une autre salle souterraine qui serait la première chapelle du 11ème siècle.

    Il subsiste également des restes de courtine, de murs d'enceinte qui entourent vraiment tout l'enclos castral. D'après ce que l'on sait, c'est à partir de 1140 que l'on a commencé à construire, à fortifier en pierres pour remplacer les fortifications en bois, pour soutenir les terrasses héritées des romains et des gaulois (tout est fortifié jusqu'à la Vézère en contrebas). Sur 30 mètres, on retrouve dans un bois une belle courtine typique du 12ème siècle appareillée en ardoises, avec des contreforts, des meurtrières.


Architecture sacrée
  • L’église Saint-Martial : Placée sous le patronage de Saint-Martial, l’église a été refaite au XIVème siècle dans la dernière période ogivale. Elle consiste en un rectangle plafonné, dominé sur façade d’un clocher­pignon et flanqué en croix de deux chapelles voûtées, à doubles travées chacune. Celle du nord, la plus ancienne, porte sur ses deux clefs les armes des Latour de Pompadour et celles des Comborn : les premières sont d’azur à trois tours d’argent maçonnées de sable, les secondes sont d’or à deux lions léopardés de gueules, l’un sur l’autre.

    Au dessus de la porte de la sacristie on voit un tableau de la Vierge œuvre de Madame Sirey du Buc de Comborn. Derrière l’autel il y a un très beau rétable commandé en 1678 par Catherine de Loubriac à Antoine Cibille. Cette oeuvre dont il faut souligner la maitrise, est digne des peintures de la famille Cibille, artistes de très grand talent du XVllème siècle. Outre ce tableau représentant la Crucifixion, ce rétable comporte les statues et reliquaires de Saint-Martial patron de la paroisse à droite et à gauche ceux de Saint-Etienne d’Aubazine. Ce rapprochement entre l’église d’Orgnac et le monastère d’Aubazine, rappelle que notre église dépendait des Seigneurs de Comborn et que ces derniers étaient des bienfaiteurs de l’abbaye d’Aubazine où ils disposaient d’un droit de sépulture.

    Le reliquaire de Saint-Martial est plus patiné que celui de Saint-Etienne car jusqu’en 1930 environ se déroulait pour la fête de Saint-Martial une procession allant de l’église à la Fontaine Saint-Martial se trouvant au fond du bourg à côté du ruisseau. Au cours de cette procession, le reliquaire du Saint était trempé dans la fontaine, de là son ternissement. . Cette procession était très suivie, des pèlerins venaient même de régions lointaines comme l’Aveyron. On invoquait Saint-Martial particulièrement pour les maux de ventre et les maladies d’enfants. On peut remarquer encore dans la chapelle sud de l’église une toile anonyme de la fin du Vlème siècle, sorte d’icone à fond d’or, représentant le mariage mystique de Sainte-Catherine d’Alexandrie. Une photo de cette toile, ainsi qu’une du retable figurent dans le livre de Madame Isabelle Dulac et de Monsieur Amelot « L’Art religieux en Bas-Limousin ». On peut voir à coté de la chapelle Nord une Piéta en pierre et à l’extérieur de l’église les restes d’un cadran solaire.

  • Chartreuse du Glandier : La chartreuse Notre-Dame du Glandier fut fondée le 10 novembre, veille de la Saint-Martin en l’an 1219 sous le règne de Philippe-Auguste et le pontificat de Grégoire IX par Archambaud VII Vicomte de Comborn. Archambaud VI, fit don du château du Glandier, terre seigneuriale avec droit de justice, « pour salut de son âme et de celle de ses ancestres » disait le chartre de fondation. Pour la légende, ce fut en expiation d’un grand crime. D’après le chartreux rédacteur du Galendarium, manuscrit du Glandier, manuscrit de 1863, Archambaud VI aurait tué un religieux de l’abbaye de TULLE qui s’opposait à l’élection comme abbé de l’un de ses neveux, en 1210. Et sur l’ordre du Pape, Archambaud VI, repentant, aurait décidé de fonder la Chartreuse afin d’expier son crime de la façon la plus éclatante.

    Le plan fut celui de toutes les chartreuses, au Centre, se dressait l’église avec à ses datés de l’église, le grand cloître reliait les cellules, au nombre de douze initialement. Cet ensemble du monastère constituait la Maison Haute.
    La Maison Basse, demeure des frères convers, fut bâtie à la grange qui portait alors le nom de Grange des Frères avec une église dédiée à Saint-Roch. Le sceau du Glandier comportait les armes du Vicomté de Comborn d’or à deux léopards de gueules.

    La Chartreuse se développa progressivement, grands et petits seigneurs, bourgeois et paysans firent des dons, pour accroître la fondation. Ces chrétiens d’alors aimaient à considérer les religieux comme les régisseurs de leurs interdits spirituels. La guerre de Cent Ans, notamment entre 1334 et 1349, puis après 1355, fit des ravages en Limousin. En 1408, la Chartreuse fut saccagée, pillée, ruinée. Le monastère fut reconstruit et devint plus célèbre que jamais au XVème siècle. Les Comborn, jusqu’au dernier des leurs, en 1513, se montrèrent très généreux. Antoine de Pompadour hérita des biens et les seigneurs de Pompadour devinrent les bienfaiteurs de la Chartreuse.

  • La fontaine des pèlerinages : Une fontaine se trouve à proximité du ruisseau dit « ruisseau de la fontaine », à deux cent mètres environ de l’église paroissiale d’Orgnac. Cette fontaine a été l’objet d’un pèlerinage qui se perd dans la nuit des temps et qui était encore fréquenté au lendemain de la Grande Guerre. Jusqu’en 1930, même, il y avait toujours des pèlerins isolés dont certains venaient de loin (un témoin se rappelle en avoir rencontré qui venaient de Decazeville par le train). Ces pèlerins ne fréquentaient pas les auberges, mais pique-niquaient sur place, après avoir bu l’eau de la fontaine. Du temps où la procession partait de l’église, le chef du saint était porté par les hommes de la paroisse et trempé dans la fontaine. On peut du reste constater que le chef de Saint-Martial s’en est trouvé terni, alors que celui de Saint-Etienne est demeuré brillant. Saint-Martial était évoqué pour les maladies du ventre des adultes et pour les maladies des enfants en général. Selon certains témoignages, on a pu voir longtemps, au dessus de la fontaine, des vêtements d’enfants accrochés là en guise d’ex-voto.


Sources :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vicomt%C3%A9_de_Comborn
http://lacorreze.com/chateaux/chateau_de_comborn.htm
http://www.le-limousin-medieval.com/pages/comborn-la-vicomte-oubliee-2055120.html
http://www.orgnac-sur-vezere.com/chateau-de-comborn/
http://www.passionchateaux.com/ch_comborn.htm
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nebisa
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MessageSujet: Re: [Comté] Comborn   [Comté] Comborn EmptyMar 7 Aoû - 13:25

[Comté] Comborn Orifla14
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Arnaut de Malemort
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Arnaut de Malemort


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MessageSujet: Re: [Comté] Comborn   [Comté] Comborn EmptySam 8 Oct - 19:56

Citation :
A tous présent et advenir salut.

Nous, Anthony de Massigny, dict « Montjoye », Roy d’Armes de France, après consultation du collège héraldique, ne validons ni ne contresignons les procédures d'anoblissements proposées par Messire Ursin, Comte du Limousin et de la Marche concernant Dame MarieAlice et MessiresMilamber987 et SinjidShoWha.

Nous actons les anoblissements suivants :
Messire Schrek est élevé au titre de Seigneur de Lapleau; il portera «De gueules aux deux lions adossés d'or, surmontés d'un léopard d'argent».
    [Comté] Comborn Laplea10


Dame Kidineige est élevée au titre de Dame de Chenerailles; elle portera «De gueules au trois chaînes d'or posées en barre».
    [Comté] Comborn Chener10


Par la mesme, nous accédons à la demande de Messire Ursin quant à son fief dict de retraite.
Messire Ursin deviendra donc Comte de Comborn ; il portera «D'or à deux léopards de gueules».
    [Comté] Comborn Comborndg1


Faict en la Chapelle Sainct-Anthoine le Petit,
Le Vingt-Cinquième de Janvier de l’An de Grasce Quatorze Cent Cinquante Cinq.

[Comté] Comborn Scwulfenja8cn
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